Login

Les cours du colza dans le vert sur Euronext

Le colza était en hausse vendredi 1er mars 2024, dans le sillage du soja. Il poursuivait ce mouvement à l’ouverture de la bourse européenne lundi 4 mars.

Vous devez vous inscrire pour consulter librement tous les articles.

Vendredi 1er mars 2024, la tonne de colza clôturait à 413,50 euros (+1,50 euro) sur l’échéance de mai et à 415,75 euros (+2,50 euros) sur celle d’août. Peu avant 11 h, lundi 4 mars 2024, la tonne de colza était en hausse, à 414,75 euros (+1,25 euro) sur l’échéance de mai et à 416,50 euros (+0,75 euro) sur celle d’août.

À la Bourse de Chicago, les cours de la graine de soja ont clôturé la semaine dernière par un léger rebond vendredi 1er mars, « mouvement soutenu par le retour de quelques acheteurs financiers », indique Argus Media-Agritel dans sa lettre quotidienne diffusée le 4 mars 2024. Pour Sitagri, les contrats à terme sur le soja « ont augmenté vendredi grâce à des signes d’achats à prix cassés et de couverture des positions à découvert, après avoir atteint la veille leur plus bas niveau en trois ans. La faiblesse des exportations et l’importance de l’offre mondiale continuent de peser sur les prix. Chaque reprise des prix a été limitée par les tensions entre l’incertitude de la demande d’importation de la Chine continentale et les prévisions d’une importante récolte de soja brésilien. »

« Les prix enregistraient ainsi une progression après les nouveaux plus bas traités la veille, poursuit Argus Media-Agritel. Les cours retrouvent un niveau similaire à la semaine précédente dans un contexte où les chiffres de production au Brésil et en Argentine restent toujours à suivre. »

« Les opérateurs restent évidemment vigilants quant à l’évolution des autres matières premières et notamment le pétrole, ajoute le cabinet. Ce dernier a marqué, à la fin de la semaine, un net rebond, franchissant le niveau de 78,50 $/b à New York et poussant ainsi les prix sur les plus hauts depuis trois mois. » Les marchés se préparent à la prochaine décision de l’Opep + sur ses niveaux de production, analyse Sitagri.

A découvrir également

Voir la version complète
Gérer mon consentement